Au revoir le Sénégal
À bientôt…
A bientôt Pays des Diolas, Jolie Casamance, promis, je reviendrais…
Je vous emmène avec moi…
N’Gor et son Île aux couleurs…. Île de tendresse, île de calme, de plénitude…
Si jolie, si charmante petite île où j.ai passé du temps, où je suis allé et retournée , j.ai le plaisir de vous y inviter
Un peu l’ile des artistes : il y a des inconnus qui y exercent, des plus connus qui, temporairement ou en continu y resident (ou y ont résidé), il y a ceux qui la parent de multiples couleurs, de créations diverses
Débarquer de la pirogue, premier contact, c’est l’envie de se poser sur l.une des trois petites plages, à l’abri de la pleine mer.
Puis, l’on prend le temps d’y flâner, au milieu des ruelles, et se demander laquelle de ses portes l.on aimerait pousser :
Se délecter de ses couleurs
Promenade de réflexion, de rencontres, d.improbables découvertes d.imagination
Se poser là, sur le banc du bonheur, y perdre son temps à rêvasser, réfléchir, observer, écouter, méditer.. refaire le monde, savourer l.instant présent
Et pourquoi finir la journée sur une plage, au son des djembés même si ce n.est du grand art, partager des moments de simple convivialité..
la houle est forte ces jours-ci. Plaisir de regarder la mer, de chercher les surfeurs 😉. Il y en a fort peu. A vous habituées aux spots surpeuplés venez faire un tout ici. Gauches ou droites, il y en a pour tous les goûts.
Meme les oiseaux cherchent à surfer…
Rares surfeurs
La pointe des Almadies, le phare des Almadies
Le lac Rose est un grand lagon de 3 km², peu profond, situé parallèlement à l’océan Atlantique, séparé de celui ci par des dunes de sable
Sa couleur est due à une cyanobactérie, organisme microscopique qui fabrique, surtout par temps de vent sec, un pigment rouge pour résister à la concentration de sel. Manque de chance pour moi, pas de vent donc peu de rose…
pour commencer, allons voir ce qui se passe du côté des dunes :
Plus que quelques centaines de mètres et voici l’ocean
L’eau est particulièrement salée : 380 grammes par litre. Les hommes, dans l’eau jusqu’à la poitrine, cassent avec un piquet le sel déposé sur le fond avant de le ramasser à la pelle pour remplir des pirogues Les femmes sont chargées de débarquer les pirogues et d’entasser le sel sur les bords pour le sécher et le blanchir au soleil. Tous s’enduisent le corps de beurre de karité pour se protéger de la salinité corrosive. Le sel est destiné aux conserveries de poisson ou exporté, pour saler nos routes …
Sur ma barque je mesure ma chance en voyant ces gens travailler
La difficulté du travail m.empeche pas le sourire.
Donc, il y a l.ean qui nourrit le lac par infiltration, mais plus surprenant, à quelques mètres du lac, dans une bananeraie, émergence de sources d.eau douce
La balade dans les dunes, je l.ai faite en 4×4
Normal, le Lac Rose, c.etait aussi l.arrivee du Paris Dakar…
Et c.est à côté du Lac qu’etait installé le Podium. Pour les gens d.ici, c.etait le bon temps, avec un afflux de touristes, de toubabs qui apportaient beaucoup d’argent …
tres improbable en lieu… 😉
Face à Dakar, à 20 minutes en bateau, Île de Gorée, l’ile aux deux visages.
L’ile de Gorée est le symbole de la traite négrière.
Sur l’ile, plusieurs musées : le fort, le Musée de la femme Henriette Bathily et surtout la maisons des esclaves (Il y avait 28 maisons de ce type à Gorée durant les périodes de traite négrière ) C.est par Gorée (entre autre) que transitaient (mourraient) étaient triés les esclaves, hommes femmes et enfants à destination des Amériques
http://laurent.quevilly.pagesperso-orange.fr/Goree.html
Le nombre d’etres humains ayant subi cette traite est estimé à environ 15 millions (difficile à estimer entre ceux qui ont été tues avant le départ, ceux mort en mer, ceux arrivés..) sur 4 siècles
https://fr.vikidia.org/wiki/Traites_négrières
à présent cette petite île est devenue un joyau Les bâtiments coloniaux pour beaucoup sont rénovées, les maisons joliment colorées Les ruelles sont propres, fleuries accueillantes Beaucoup de plaisir à y déambuler
ce village est construit sur des amas coquilliers formés au fil des siecles
Fadiouth, c’est l’ile aux coquillages Les murs sont construits de coquillages, les rues couvertes de coquillages, le cimetiere en coquillages
Depuis des siècles , le béton local est constitué de coquillages
Charmante petite île, sans voiture
L’ile est Reliée à la terre par un petit pont de bois. De l’île, un autre pont rejoint le cimetiere (chretien et mulsuman dans un même lieu, même si ici la majorité de la population est chretienne)
Du cimentiere, la vue sur les environ est superbe : village, mangrove et au loin, champs cultivés
A Fadiouth, la population vit de la mer, de la mangrove mais aussi de l.agriculture (les champs travaillés en saison d’hivernage sont à environ deux kilomètres)
traditionnellement, afin d.eviter que les grains ne brûlent en cas d’incendie ou ne soient mangés par les rongeurs, des greniers ont été installés dans la mangrove , accessibles à marée basse
Au sol, des crabes «violonistes » ramassés servent appâts pou la pêche et les huîtres de palétuviers « cueillies » dans la mangrove sont deposées au sol afin de les faire grossir
Joal Fadiouth est une commune qui regoupe 2 villages , Joal et Fadiouth
C’est à Joal que le poète Léopold Sédar Senghor, apôtre de la négritude et premier président de la République du Sénégal a passé une grande partie de son enfance
On peut visiter sa maison familiale convertie enMusee Musée a ne pas manqué, petit, mais passionnant si l.on se fait accompagner du conservateur (connaît parfaitement son sujet et plein d.humour)
L.activite principale de Joal est la pêche
Retour de pêche, en fin de journée
Les bateaux :
Chantier naval 😉 sur la plage En bois rouge, de magnifiques coques
Et surtout, Joal Fadiouth a vu naître plusieurs champions de Lutte , le sport national
Une fois encore, embarquement à bord d’une pirogue. Direction Djiffer. Djiffer, village de pêcheurs à la pointe sud de la “petite côte”. C’est accès sur la mer du Sine Saloum.
Ici, les pêcheurs viennent de partout au Sénégal, mais aussi de Gambie, de la Guinée Bissau, de la Mauritanie. Ils s’y installent parfois quelques mois pour sécher le poissons qui revendront au pays.
A chaque arrivée des bateaux de haute mer, c’est la ruée, pour être le mieux placer pour acheter les poissons
Soit crus, soit préalablement fumés , dans les deux cas après avoir macéré dans le sel , les poissons sont séchés au soleil, sur de grandes clayettes .
En quittant djiffer, pirogues partant en mer…
En pirogue côté Saloum, au fond, l’ocean
En perspective, un lieu où il fera bon déjeuner :
Nous y voila… la plage, à droite, à gauche
Et pour le déjeuner, crevettes autres et son accompagnement
Pur instant de bonheur !
Retour par les mangroves
Située dans le delta du Saloum, Mar Lodj est une île de 150 km2. Environ 5000 habitants y sont repartis dans 4 villages
ici aussi, musulmans, chretiens,animistes vivent en parfaite harmonie.
Dans le Village :
Visite de l’ile en calèche locale
Et navrante découverte de l’impact du déboisement et les dégâts climatiques
Plus de réserves d.eau naturelles, la faune sauvage a quasi disparu, et pour cette population , précédemment auto suffisante tant en céréales qu.en bétail , la situation est dramatique
Au revoir jolie Casamance, à bientôt douce Casamance…
En voiture, en route dans un premier temps pour la Haute Casamance et un accueil chaleureux en famille.
Puis à nouveau la route, longue pour détourner la Gambie
Et voici, arrivée à N’Dangane, un peu de patience avant de prendre la pirogue, pour rejoindre le joli campement de l.Ile de Mar Lodj.
me voici dans le Sine Saloum, un nouvel univers d.eau, de petites îles, de mangroves..
De nouvelles îles découvertes pour ce dernier jour. De nouvelles îles, mais surtout des petits paradis.
Karabane, est une île située à l.embouchure du fleuve Casamance. Première capital régionale, premier comptoir de Casamance, l.ile d.abord portugaise devient française en 1936. L.esclavage perdure ici jusqu.au début du XXeme siècle.
Par ailleurs, la construction d’un grand quai de 116 mètres de longueur permet l’accostage des plus grands navires susceptibles d’entrer en Casamance. Un embarcadère avec rail est aménagé le long du fleuve pour faciliter le transfert des marchandises.(riz coton). Le débarcadère (réaménagé) fonctionne toujours. Arrivant de Dakar le bateau fait escale ici avant de rejoindre Ziguinchor.
Journée venteuse, mer un peu agitée, nous débarquons à l’arrière de l’ile
La,petite eglise de Karabane, réhabilitée dans,le style colonial, est inaugurée ce week end
derriere le village :
la plage le long de laquelle s.aligne quelques restaurant et hébergements
Repérés pour ma prochaine arrivée de Dakar, deux petites chambres à louer, directement sur’la,plage :
vous voulez jouer les Robinson’s ? Venez ici
face au petit’port D.Elinkine, une mini île et comme seule habitation, un’petit campement fait « de et sur » palétuviers.
c.est une île sacrée où il n.y a que des vivants. Les habitants enterrent leurs,morts sur une île voisine
Je m.apercois qu.ici j’ai fait peu de photos et de qualité médiocre. J’ai inconsciemment du le faire exprès, pour me préserver cette endroit magique. Ici, c.est le paradis sur terre et le campement de Léon , ses chambres, son restaurant, sa plage je me les garde 😉
En pirogue, l’ile Eloubaline .
Pres de 3/4 heure de pirogue, à travers de larges bolongs
mais aussi de bolongs couverts
Pour arriver à cette île du bout du monde
Eloubaline, une bande de terre aride (en cette saison) , à fleur d’eau une île de tradition Diola où vivent 600 personnes réparties dans une quarante de cases
Parmi ces cases, quatre sont des cases à impluvium. Soit des grandes cases avec un contre toit orienté vert l.interieur qui permet à la lumière d.entrer mais surtout à recueillir l.eau en saison des pluies. Dans chacunes de ces cases vivent 4 familles.
Centre d’une case a impluvium :
En cette saison de fin de récolte du riz, l’une des principales activités est le filage du coton et son tissage. Hommes et femmes s.y attèlent
Ici, la priorité absolue est l’eau. L.eau des bolongs est salée. L’île est à fleur d.eau , la salinité de la terre très importante. La seule possibilité, les citernes. Une ancienne, enterrée, s.est fissurée et l.eau y est à présent saumâtre. Une ONG en a construit une autre en surface, ce qui sauve les hantants. Chaque famille a droit à un jerrican de 30litres tous les 6 jours… S.il ne pleut pas assez tôt en saison, il faut aller chercher de l.eau à Oussouye en pirogue. C.est le travail des femmes soit 4heures aller et autant pour le retour en pirogue à ramse. Le gouvernement a bien fait installer 2 robinets mais la qualité de ceux ci ne leur a permis de fonctionner que quelques semaines…
Ici, pas d.electricité. Des panneaux solaires ont été installés sans tenir compte de la salinité de la terre bilan les batteries n’ont survécu que 6 mois. Et dans les maisons, pour alimenter les quelques ampoules il faut changer les batteries régulièrement mais les habitant n.en ont pas les moyens…
L.augmentation du niveau de la mer se fait fortement sentir en Casamance alors qu.adviendra-t-il d.Eloubaline ???
M’LUMP
A 15km d’oussouye, un village tout étendu le long de la route et s.enfoncant dans la forêt.
Un joli musée sur les’traditions Diola (Je n’y reviens pas) en forme de case à Impluvium
Et, fait rarissime, une case à étages
Bien sûr, la nature est la, toujours présente.
L.immense fromager du village :
Et le magnifique baobab sacré
C.’est parti ce matin pour une petite rando à la découverte de la religion Diola, dans les villages environnant Oussoye.
Peuple à la fois guerrier et pacifique, les Diola sont très réputés pour leur hostilité à l’envahisseur. Ils se sont violemment opposés aux colons portugais et français du début à la fin de la colonisation. L’orgueil qu’éprouvent les Diola pour leur ethnie, leur refus de toute influence ou domination extérieure et l’isolement de leur terroir du reste du Sénégal ont contribué à la conservation des us et coutumes de la tribu. En effet, les Diola sont l’ethnie la plus traditionnelle du pays. Même s’il y a une forte présence chrétienne au sud et musulmane au nord de la Basse Casamance, les Diola sont majoritairement animistes Tous les éléments de la nature (humain, animal, végétal, minéral…) disposent d’une force vitale composant un tout. Être animiste ne signifie pas ne pas croire en Dieu. Les Diolas croient à un seul dieu créateur de l’univers, de l’homme et de la nature : Atémit. Les anémistes implorent rarement le dieu créateur, mais ils vénèrent des génies protecteurs (de la terre, du village, de la lignée ancestrales,…) un trait d’union entre Dieu et eux. Les Diolas croient en la réincarnation, après la mort, les esprits des ancêtres subsistent. Les fétiches, les boekin, représentent des objets qui peuvent incarner un esprit. Ils permettent de constituer un rempart spirituel contre toutes sortes de menaces, accident, maladie, mort, sécheresse,..
Pour eux, l’être humain est infiniment petit pour s’adresser directement à Dieu, d’où la nécessité d’intermédiaires à l’image de la communauté des ancêtres.
Les Diola sont l’ethnie sénégalaise qui a conservé le plus de manifestations religieuses traditionnelles. La plus importante est l’initiation des jeunes appelée Bukhut et qui s’organise à tour de rôle de village en village. Les rites initiatiques qui duraient autrefois trois mois, se déroulent de nos jours en un mois environ à cause du calendrier scolaire et des vacances, ce qui fait que la cérémonie s’organise entre août et septembre.
Les Diola sont naturellement agriculteurs, détenteurs depuis des millénaires d’une authentique civilisation de culture du riz
c.est un lieu sacré, réservé aux « prêtres » Les fidèles s.installent autour.
C.est sur cette place sacrée que ce tiennent les cérémonies. C.est en ce lieu aussi que l’on vient demander le soutien de Dieu auprès de la communauté pour tout souhait personnel Le grand prêtre pourra alors prier vous intercéder auprès de Dieu afin que les souhaits se réalisent En contre partie le sage vous fera,part de recommandations et vous indiquera les offrandes qui faudra apporter lorsque le vœux se réalisera (quantité de riz, de vin de palme mais aussi animaux…) Sous’la hutte, l.on peut voir les vestiges de ces offrandes et également les tam tam’utilisés lors des cérémonies
Chaque famille possède son propre fétiche. C.est ici, entre autre que seront baptisés les enfants, C.est ici que l.on déposera les biens d.un défunt afin qui son âme viennent les chercher. Y sont déposées des offrandes parmi lequel les du riz et du vin de palme.
Dans chaque villages existe aussi un fétiche des femmes, géré par les femmes La fertilité est un des thèmes principaux qui y est abordé
La calebasse : ultime recours en cas de stérilité, les femmes partent de leur village, pour subir le processus dit « kañaleen ». Elles sont prises en charge par les femmes, changent de nom, et portent une calebasse sur la tête comme signe d’appartenance au « kañaleen ». Cette calebasse lui sert aussi à boire et à manger.
Élément essentiel à chaque village, chez les Diolas, un gros tambour de forme allongée et ouvert sur le dessus, je vous présente LE BOMBOLONG; le téléphone Diola ! Il est taillé d.une seul pièce dans un tronc de fromager et sert de téléphone de brousse pour faire passer des messages d’un village à l’autre (naissance, décès,..) sa portée peut atteindre près de 10km. Sa fabrication est secrète puisque l.artisan responsable travaillera à le creuser, enfermé dans une case afin que personne ne le voit.
La légende raconte que dans cette hutte, l’homme devient tout petit, ce qui lui permet d’entrer dans le tronc afin de le creuser.
Le Bombolong accompagne aussi des cérémonies. A Oussouye, il est sacré, seul le roi peut ordonner son réveil
Nous voici donc à Oussoye Hébergement familiale, chez François et Philomène . Gentilesse, sourires, hospitalité , les mots sont faibles pour exprimer les qualités humaines de nos hôtes
Ces qualités je vais rapidement découvrir qu.’elles font partie de la culture Diolas
Culture ancestrale dont le légataire et le garant principal est le Roi de Oussoye , tant sur le plan religieux que social
Le roi d’Oussouye est chargé de veiller à la paix et à la cohésion sociale. En cas de conflit, il est consulté et son rôle est de réconcilier les parties. Son intronisation en plein conflit en Casamance aurait d’ailleurs eu comme effet de faire cesser les combats dans cette zone
Il veille également à ce que chacun de ses sujets ait à manger, distribuant le riz issu des champs royaux, cultivé par les villageois des alentours.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Royaume_d%27Oussouye
Francois appartient à l’une des trois familles dont sont issus les rois de Oussouye Il nous obtient une audience privée qu’après de celui ci
Le rouge, couleur de la royauté Il est mal venu de porter cette couleur lors de rendez vous auprès de sa majesté De même, à Oussouye, personne ne s’habille en rouge
Le Roi nous reçoit installé sous son arbre, dans la cour Royal
Tout savoir sur les Diolas :
https://amkassoumaye.wordpress.com/2013/02/05/les-diolas-approche-culturelle/
Tout cela, vu de chez nous, paraît un peu puéril et surannée, ce protocole est nécessaire à la hiérarchie de cette ethnie, et à la transmission de leurs’valeurs : paix, solidarité , respects de chacun Ici ces mots ont non seulement un sens, mais sont une réalité au quotidien
Merci aux Diolas, à François, à Sibilumbaï Diedhiou, leur Roi
Taxi du Cap Skirring à Oussouye, au cœur du pays Diola’. Les Diolas sont une ethnie ancestrale animiste. A l.exception du roi , de ses proches et des chefs traditionnels féticheurs une grande partie des Diolas sont sont à la fois animistes et catholiques
Nous arrivons juste pour le troisième jour de la fête du…
Au premier jour de la fête, l’ensemble des produits locaux ainsi que du vin de palme et du riz sont placés dans un grand panier suspendu .
un déjeuner est pris en commun avant que les festivités ne commencent, danses traditionnelles accompagnées de l.homme de paille, le kumpo’ Il symbolise la richesse et la puissance de la nature en Casamance. Il danse pendant des heures avec le bâton et le drapeau sur sa tête. Il parle une langue secrète et communique avec les spectateurs
Le Kumpo est accompagné de Niassi Ce dernier que je vous avais présenté suite à ma visite au musée de Ziguinchor, fait respecter l’ordre durant les danses
La danse des cuisinières, en remerciements du repas servi
Danse du Kumpo
quelques photos glanées par ci par là…
A méditer….
Quelques jours à buller dans cette station du bout du monde quelques jours à arpenter un plage sublime, à se baigner dans une mer douce. Peu de textes, juste quelques images pour rêver…
Une pensée pour mon surfeur préféré et autres neveu et amis surfeurs Quelques vagues à surfer un peu au large, mais la houle entre mal, et sauf exception les vagues sont petites environ un mètre :
Vendeurs de statuettes et figurines sur la plage :
Et mes copines, vendeuses de bijoux pour quelques centimes d’euros, elles arpentent, à longueur de journée la plage, que le ciel soit voilé comme ce jour, que le soleil soit brûlant
Des pêcheurs remontent un filet…
Pour terminer la journée, un café à l’ombre
… au son des djembés faisant face au couchant
New look pour la soirée 😉
C.est parti pour une nouvelle destination. Cap Skirring, extrême sur de la Casamance, à 6 km de la frontière Bissao-guinéenne
En 1973, dans ce village inconnu, situé en plein brousse, le club Méditerranée s’est installé. Cap Skirring, devint alors un station balnéaire importante. Donc prendre cette destination m.inquietait un peu…
Ah surprise !!!! Kabrousse / Cap Skirring n.est autre qu’une mense plage, bordée de végétation où se dissimulent quelques hôtels, globalement plutôt modeste. paradis sur terre. !!!!
de la terrasse de notre campement :
Comme toujours ils sont là pour dire « bonjour »
Fin de journée à la page des pêcheurs De,la vie, des couleurs et encore des couleurs
Et sur la plage, Paco chez qui nous terminerons la journée
Au menu, crabe farci, riz aux fruits de mer,
Tour de ville, du marché, du centre artisanal et de son musée présentant des toiles de jeunes artistes ainsi que de fort belles statues (en fibres végétales, bois, terre) symbolisants des traditions Casamancaises (cliquez sur les images pour description)
A l’heure du déjeuner, en retrait du centre ville, la gargote idéale
Et pour le déjeuner, je les espérais..
A l.exterieur, des femmes ramassent les huitres, d.autres les décortiquent et les trient par taille
En tête fin de journée, petit tour de l.hotel et de son environnement
Dans le jardin, cet arbre magnifique, regardez le bien…..
Ses fruits sont particuliers… 😉 Cigognes grises !
Calme et sérénité au moment de l.apero. ..
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